Voeux pour nos membres

À vous chers membres,

Nous voulons vous remercier de votre soutien lors de cette crise mémorable qui, je l’espère, est derrière nous.  Nous avons eu, malgré tout, de belles rencontres en visioconférences.  Vous nous manquez énormément et nous espérons que dès ce printemps vous serez présents avec nous pour une nouvelle saison d’activités et de conférences.

En attendant de se retrouver tous vaccinés et en santé, nous souhaitons que cette belle période des fêtes de fin d’année soit remplie de beaux moments chaleureux avec ceux que vous aimez.  Il est temps de chasser la tristesse et les soucis pour faire place à la joie et à l’amour. 

Profitez bien de Mère Nature allez jouer dehors, c’est fou ce que le plein air peut faire pour notre équilibre.  De la santé, de l’émerveillement et tout plein de belles surprises. 

Joyeux Noël à vous et à votre famille.

Réjeanne Castonguay, présidente de la SHÉDO

Journal Altitude : décembre 2021

Fleurir Noël !

Lorsque l’hiver frappe à la porte et que Noël approche, il est surprenant de constater toutes les variétés de potées fleuries disponibles en jardinerie et même chez notre épicier! Je partage ici avec vous mes cinq coups de cœur.

Pendant plusieurs années, c’est le poinsettia qui était à l’honneur dans mon salon. Appelé aussi « étoile de Noël », celui-ci peut garder sa belle coloration rouge très longtemps. Mais, c’est un petit frileux! Cette plante tropicale adore la lumière, mais pas le soleil direct. Elle apprécie une température entre 18 et 20 degrés, déteste les courants d’air et l’eau froide! Je n’ai jamais eu assez de rigueur pour essayer de le faire refleurir, car le poinsettia demande 14h de noirceur complète chaque jour pendant 8 à 10 semaines avant les fêtes!

Un jour, un ami m’a offert son magnifique cactus de Noël. Une belle plante aux rameaux retombants dans un pot énorme! Sa floraison rose a toujours été spectaculaire… mais jamais pour Noël! Le petit coquin fleurit au début du mois de décembre ou en janvier. J’ai lu que je devais le rationner en eau et lui donner plus d’obscurité. Alors, dès octobre, je l’ai déplacé et espacé les arrosages. Quelques boutons floraux sont apparus en… novembre, puis plus rien! Mais comme il nous reste un peu de temps avant Noël, je garde espoir. Mon plant est un vrai cactus de Noël, car saviez-vous qu’il existe une autre variété de cactus vendu pendant les fêtes?  Je m’en suis procuré un cette année et il arbore de magnifiques fleurs blanches. L’éclosion de ces dernières a été forcée en serre, alors l’an prochain, il risque de s’épanouir au printemps, d’où son nom: cactus de Pâques.

Mon premier cactus fut le déclencheur d’explorations horticoles hivernales! Mon kalanchoé avec ses feuilles vertes foncées, un peu dentelées et ses fleurs menues en bouquet jaune est ainsi devenu un de mes favoris. Il existe en plusieurs couleurs comme le blanc, le rose et le rouge. Cette plante grasse, qui aime un sol plus sec qu’humide et un bon éclairage, est originaire de Madagascar.

Quoi de plus spectaculaire qu’une amaryllis! Tellement impressionnante avec sa longue tige florale et son éclatante floraison rouge, rose ou blanche. On retrouve l’amaryllis sous forme de bulbe dans un pot prête à s’épanouir. Même si ça peut paraitre surprenant d’offrir un bulbe en cadeau, elle reste un beau présent à recevoir!

Les plantes présentées ici sont toutes tropicales, sauf ma dernière trouvaille. Eh oui! Ma nouvelle acquisition est commune au nord de notre province! La gaulthérie couchée ou thé des bois est très jolie avec ses feuilles délicates et ses petits fruits rouges. Elle peut être transplantée au printemps dans le jardin. Et miracle! C’est un couvre-sol facile qui apprécie l’acidité, l’ombre des sous-bois et de nos conifères ainsi que nos hivers! J’ai bien hâte de faire des essais!

Noël est aussi un moment de rêves et de souhaits. Tous les membres de la SHÉDO vous transmettent leurs vœux de paix, partage, amour et une prochaine année remplie de gros bonheur et bien sûr, de fabuleuses découvertes pour le jardin! Profitez de temps de qualité avec ceux et celles que vous aimez et retrouvez-nous pour la nouvelle année!

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(par Chantal Pepin).

Journal Altitude : novembre 2021

Pourquoi nos conifères gardent-ils leurs épines en hiver ?

Si vous nous avez suivis le mois dernier, vous savez que ce sont la diminution de luminosité et la perte de chlorophylle qui sont à l’origine des magnifiques couleurs dans nos forêts en automne. De même, les jours raccourcis et le froid obligeront les arbres à s’adapter pour rester en vie. Ils cesseront de nourrir leurs feuilles qui vont sécher et tomber.

Mais ma tête en perpétuel questionnement s’interroge encore! Pourquoi est-ce différent chez les conifères comme le sapin, l’épinette ou le thuya (cèdre)? Sauf exception, on voit bien que leurs épines ne changent pas de couleur et ne tombent pas!  Eh bien, aussi surprenant que cela puisse être, oui! Mais c’est beaucoup moins impressionnant que les arbres caducs. Durant leur croissance, les conifères développent des aiguilles ou des écailles recouvertes d’une couche de cire très résistante et protègent ainsi la chlorophylle dans leur feuillage. En automne, le vert sera juste un peu moins éclatant qu’en été.

Alors, dois-je m’inquiéter lorsque je vois des épines jaunies dans les conifères de mon jardin? Eh bien non ! Le feuillage des résineux se renouvèle tout au long de leur vie et il est normal, surtout en automne, qu’ils perdent une partie de leurs « feuilles » et que de nouvelles pousses apparaissent. Cette chute peut varier selon les années et d’un conifère à l’autre. Les arbres sont sensibles au stress, alors un été chaud et sec pourrait se traduire par une plus grande perte d’aiguilles ou d’écailles.

Nos conifères sont robustes au Québec, mais il est possible de les aider à passer l’hiver, en les arrosant jusqu’aux premières gelées. Certains, comme le mélèze, n’ont pas de couche protectrice sur leurs épines et perdront leur feuillage en hiver. Majestueuses sont les stratégies de la nature!

La neige est à nos portes et vous désirez fleurir votre intérieur pour les fêtes? Conseils pratiques sur les plus belles plantes de Noël dans notre article du mois prochain!

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(par Chantal Pepin, membre invitée).

Deux conférences Néo-Terra gratuites

Martin Boisvert vous lance une invitation à assister à deux conférences! On donnera la première en direct en ligne cette semaine, sur le sujet de la garde de poules dans le cadre d’un projet d’autosuffisance alimentaire🐓🐣🍗

  • Quand : Jeudi le 14 octobre 2021 à 19h30
  • Où : En direct en ligne (*GRATUIT!)

Pour visionner cette conférence, vous devez vous inscrire ici:

Je veux m’inscrire à la conférence du 14 octobre.


La seconde conférence porte sur le sujet de la garde de poules dans un contexte hivernal. 🐔❄️⛄ Elle vous permettra notamment d’apporter des ajustements aux installations en vue du temps froid qui s’en vient. Il s’agit de l’enregistrement de la conférence que j’ai offerte l’an passé que je rends à nouveau accessible, toujours gratuitement.

  • Quand : Quand vous voulez, car elle est déjà accessible
  • Où : En ligne en différé (*GRATUIT!)

Pour visionner cette conférence, vous n’avez qu’à vous inscrire ici:

Je veux visionner la conférence sur les poules en hiver.

Journal Altitude : octobre 2021

Mais d’où viennent toutes ces couleurs?

Saint-Donat et ses environs se sont parés de leur majestueux costume d’automne! La compétition entre le jaune, le rouge et l’orange des feuilles est toujours époustouflante. Mais pour moi, impossible de me contenter d’admirer ce spectacle, j’ai la tête constamment pleine de questions! Êtes-vous de ceux qui se demandent comment se réalise ce spectaculaire changement de couleur? La croyance populaire veut que ce soit le refroidissement de la température qui cause la coloration.

En fait, les scientifiques ont démontré que ce n’est pas que le froid et le gel qui créent le phénomène. Ce serait plutôt dû au raccourcissement des jours et à la diminution de lumière. Une feuille est verte à cause de pigments appelés chlorophylle. Combinée au soleil et au carbone de l’air, elle permet aux feuilles de fabriquer des sucres et de nourrir l’arbre. C’est ce qu’on appelle la photosynthèse.  L’été, quand la chlorophylle est abondante, le vert masque toute autre couleur présente dans la feuille.

Lorsque l’automne arrive avec moins de lumière, la photosynthèse diminue ce qui amène la perte de chlorophylle, le vert laissant ainsi place aux couleurs qui étaient cachées : le jaune, l’orangé, le rouge. Fascinant la nature quand même! Mais ce n’est pas tout! Pourquoi les feuilles finissent-elles par sécher et tomber? Les jours raccourcis ET le froid obligeront l’arbre à s’adapter pour rester en vie. Ses feuilles, munies de capteurs sensibles à la lumière, stimuleront une hormone. C’est elle la responsable de la chute des feuilles! Un bouchon se formera à la base de chaque pétiole (queue de la feuille) et empêchera l’entrée de la sève. À cette étape, l’arbre entre dans une sorte d’hibernation et ne dépense plus d’énergie pour ses feuilles qui vont mourir et tomber. Mais ma tête pleine de questions s’interroge encore! Pourquoi est-ce différent chez les conifères comme le sapin, l’épinette ou le thuya (cèdre)? Sauf exception, leurs épines ne changent pas de couleur et ne tombent pas. Belle question? Promis, j’y reviendrai le mois prochain!

À la suite de mon article « Au secours de mes tomates! », voici la finalité de mon aventure! Chaque matin, je suis entrée dans ma petite serre surpeuplée en les saluant d’un « bonjour, les filles! » en m’assurant qu’aucun ennemi indésirable ne se soit pointé. Je les ai tellement dorlotées! J’aime imaginer que c’est ce lien affectif qui m’a permis d’avoir la plus belle récolte de tomates de ma vie. Mais bon, il faut bien que je rende à la serre ses avantages! Même s’il n’y a pas eu de vraie gelée en septembre, elle a tenu tête aux nuits froides et gardé une température juste assez chaude et humide pour laisser murir les légumes à point. Au moment d’écrire ces lignes, nous mangeons encore tomates, concombres, salade, haricots et plus! Prochains défis en avril prochain!

La SHÉDO a terminé ses activités pour la saison. Soyez alertes, car le printemps apportera une toute nouvelle programmation et des conférences, qui on l’espère, seront en présentiel. Au plaisir de vous retrouver pour jaser de vive voix horticulture et écologie! En attendant, suivez-nous sur notre page Facebook : https://www.facebook.com/hortistdonat


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(par Chantal Pepin, membre invitée).

Journal Altitude : septembre 2021

Au secours de mes tomates!

Si vous avez un potager, il y a de fortes chances que la tomate y soit cultivée. Comment ne pas succomber aux arômes et au délice d’une tomate mûrie au jardin? Pourtant, malgré une expérience qui s’est développée au fil des années, mes récoltes ne sont pas toujours fructueuses. En fait, une saison trop courte à Saint-Donat m’a amenée à me questionner sérieusement sur l’avenir de la tomate dans mon potager. Impossible de mettre en terre tes plants chouchoutés avant le 25 juin parce qu’il fait trop froid la nuit et lorsque les tomates sont sur le point de mûrir, la météo est déjà en déclin… ça vous dit quelque chose? L’expérience ultime a donc été d’aménager (enfin!) une petite serre sur le terrain. Mon rêve! Je me sentais comme une fillette à qui on a offert une maisonnette! Je regardais mes rejetons pousser avec fierté et je les imaginais remplis de fruits rouges, savoureux et totalement bio. Mais ce que je ne savais pas, c’est que plusieurs surprises m’attendaient. Mon premier défi a été de contrôler la chaleur en ouvrant les portes tôt le matin et en installant des rideaux blancs pour éviter la cuisson des plants. J’ai ensuite adapté mes arrosages, car avec l’humidité ambiante, il est facile de trop arroser. J’ai aussi réalisé que ma progéniture était très heureuse, car la serre est rapidement devenue une jungle! Trop serrées, les tomates ont envahi l’espace et j’ai dû tailler plusieurs branches pour que les autres légumes puissent respirer.

C’était quand même impressionnant et la récolte se promettait fabuleuse… jusqu’à ce que de petits insectes se pointent le nez. De minuscules pucerons rouges se sont installés incognito et le temps que je m’en rende compte, ils avaient proliféré sur la moitié de ma plantation. Me voilà donc à la quête de moyens écologiques pour les éliminer : douches, pièges collants jaunes pour les attirer, coupe des branches les plus affectées. J’ai même attrapé une dizaine de coccinelles dans le jardin de ma mère pour les intégrer à l’intérieur de la serre. Mais les indésirables étaient drôlement coriaces et mon rêve de légumes bio s’envolait au même rythme que les résultats de mes efforts. Si bien qu’en ultime recours, je me suis résolue à utiliser un savon insecticide. J’ai finalement réussi à éradiquer l’ennemi. Au moment d’écrire ces lignes, le calme règne dans la maisonnée et mes tomates rougissent doucement. Je ferai certainement le pied de nez aux premiers gels de septembre, mais je me demande combien de temps mes tomates seront protégées par la serre. Promis, je vous fais un compte rendu dans mon article du mois prochain.  

N’oubliez pas la prochaine conférence de la SHÉDO le jeudi 16 septembre 2021 à 19h30. Mme Hélène Dubé présentera des idées d’aménagements écoresponsables de la cour à la berge. Si vous n’êtes pas déjà membre, vous pouvez payer 10$ pour cette conférence (paiement 48 heures à l’avance) par chèque, argent comptant ou virement Interac. Communiquer avec Monsieur Eddy Dupuis: e . d u p u i s @ h o t m a i l . c a

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Journal Altitude : août 2021

Avons-nous une influence écologique?

Qui ne s’est pas déjà questionné sur l’impact de ses petits gestes écologiques au quotidien? Lorsque je récupère ou que j’utilise le compostage à la maison, jusqu’où mon exemple influence-t-il mes enfants et mon entourage? Il y a une dizaine d’années, quand les bacs bruns n’étaient pas encore de mise dans les villes, ma grande fille qui venait d’emménager dans son nouvel appartement m’a téléphoné : «  Maman, qu’est-ce que je fais avec mes pelures de légumes? Je n’ai pas de bac de compostage ici! » Prise de court par sa question, je lui réponds qu’elle ne peut certainement pas s’installer un composteur sur le palier de son immeuble, alors… les mettre à la poubelle? Bref moment de silence, suivi de cette phrase qui se gravera dans ma mémoire: «  Tu ne comprends pas! J’ai composté toute ma vie! Je ne peux pas jeter ça aux poubelles! » Je réalise alors que mes enfants ont toujours connu le compostage domestique. Bien longtemps avant la venue des bacs bruns, ma mère utilisait un bac de compostage maison dans la cour.

Je me souviens encore de mon admiration, lorsque jeune adulte, j’ai vu pour la première fois « l’or noir » produit par ces déchets végétaux. Son jardin était d’ailleurs resplendissant! C’est par son exemple que le compostage s’est ancré dans nos habitudes familiales. Comme il n’y avait pas d’alternative pour ma fille, c’est avec une infinie tristesse qu’elle a jeté pour un temps ses déchets végétaux. Mais ce jour-là, j’ai compris l’effet réel de nos gestes environnementaux sur nos proches. Ma mère utilisait des sacs réutilisables qu’elle avait fabriqués elle-même pour faire ses emplettes à une époque, pas si lointaine, où le sac de plastique régnait en maitre! Sans le savoir, elle m’a incitée à l’imiter. Aujourd’hui, je suis fière de sa persévérance! Elle m’a permis d’élever mes enfants dans une conscience écologique que je vois maintenant transparaitre dans leurs gestes au quotidien. Soyons une inspiration pour notre entourage! Transmettons à nos jeunes des traditions leur offrant un avenir plus vert et écoresponsable.

N’oubliez pas la prochaine conférence de la SHÉDO le jeudi 19 août 2021 à 19h30. Saviez-vous qu’il est illégal de réhabiliter un oiseau sauvage sans permis? Comment fonctionne un centre de réhabilitation pour les oiseaux blessés? Venez rencontrer sur Zoom, Mme Jo-Annie Gagnon, conférencière pour le Centre de refuge Le Nichoir.

Nous vous rappelons que votre carte de membre de la SHÉDO (25 $) vous donne droit à un rabais de 10 % dans la plupart des pépinières, en plus de vous permettre d’assister à nos conférences? Vous pouvez aussi payer 10 $ par conférence (paiement 48 heures à l’avance) par chèque, argent comptant ou virement Interac. Communiquer avec Monsieur Eddy Dupuis: e . d u p u i s @ h o t m a i l . c a

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Incontournable à vivre:Domaine Joly-Lotbinière

Le Domaine Joly-De Lotbinière (à Sainte-Croix) est heureux de vous présenter ses nouveautés 2021 et de vous inviter à venir «Vivre pour vrai» ses Incontournables. 

Au Domaine Joly-De Lotbinière, il règne un art de vivre qui laisse place au temps pour se connecter avec la nature, pique-niquer en famille, se détendre entre amis et s’amuser loin des distractions de la vie quotidienne. En cette année du 170e anniversaire du Manoir, la programmation a été inspirée de ce mouvement et de la passion de Pierre Gustave Joly pour la photographie ainsi que de celles de ses descendants, pour les arbres, les jardins et le respect de la nature.

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Formation gratuite avec Jean-Martin Fortier!

À partir du 20 juillet 2021, inscriptions ouvertes dès maintenant!

Vous voulez apprendre comment récolter vos légumes plus efficacement? Inscrivez-vous à la nouvelle formation en ligne en 3 parties du Jardinier-maraîcher, «Les clés du succès pour des récoltes efficaces». Jean-Martin Fortier vous y enseigne les meilleures pratiques et techniques pour améliorer la façon dont vous faites vos récoltes.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour vous inscrire gratuitement! L’atelier sera disponible seulement jusqu’au 6 août, ne manquez pas ça!

https://lejardiniermaraicher.com/les-cles-du-succes-pour-des-recoltes-efficaces